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Licencieuse

Les histoires sulfureuses de Julie Sinclair

Le plaisir avec des mots...

Bienvenue chez moi, vous trouverez ici des textes crus et hards mais de qualité. J'y mélange mes fantasmes et mon vécu. J'espère que vous prendrez autant de plaisir à me lire que j'en ai eu à les écrire.

Je voulais vous raconter un peu mes vacances.

Ce matin je me suis réveillée dans le lit d'un mec dont je ne me souvenais plus le nom. Il dormait nu à côté de moi, je l'avais rencontré en boîte et nous avons baisé le reste de la nuit avant de nous endormir. Mais comme ça n'avait pas été fantastique, je décidai de m'éclipser sans bruit. Je retrouvai sur la moquette ma jupe et mon top, mais où avais-je mis ma petite culotte ? Je pris mes chaussures à talons à la main et m'éclipsai sur la pointe des pieds. Ce n'est que dans le couloir de l'immeuble que je me chaussai et descendis les escaliers.

Je découvris que j'étais dans un quartier très distant du mien et décidai de prendre le métro malgré ma tenue de chaudasse. A peine dans la rame, voici que mon téléphone se met à sonner. C'est Sonia, une copine. Elle me dit qu'elle est dans sa villa du cap d'Agde et me propose de passer quelques semaines de vacances chez elle. Évidemment, j'acceptai, car après tout j'étais en congé et j'étais en manque de soleil, de plage et de soirées très chaudes.

Dans le métro, je voyais bien que ma tenue de soirée choquait quelques femmes et excitait les hommes. Cela me fit sourire et me donnait l'impression d'être libre et forte. Je décidai de prendre la direction de la gare pour aller dans le sud. Pas besoin de prendre des affaires, j'irai faire du shopping avec Sonia sur place !

A une station, une foule entra et se pressa. J'étais assise sur un petit siège dans un coin, et j'avais en face de moi le spectacle de culs de nanas dans des leggings et d'un mec face à moi, moulé dans un pantalon de toile. Il avait une bonne odeur de mâle, une bosse intéressante à l'entrejambe, je ne levai pas la tête vers son visage et ne sut donc jamais à quoi il ressemblait, je demeurai les yeux rivés sur cette proéminence qui me agit immédiatement dans mon entrecuisse, d'autant plus que le contact du siège sur mon sexe nu, la chaleur ambiante et les vibrations me faisaient beaucoup d'effet. Nous étions balancés par les mouvements de la rame et le bassin du garçon vint parfois très près de mon visage. Inutile de vous dire le genre d'idées qui me passèrent par la tête. Comme nous étions pressés à l'extrême par la venue d'une autre foule, j'étais libre d'agir sans être vue, alors je posai ma main sur la bosse et commençai à presser la verge en dessous. Je sentis la queue se durcir, le gars ne fit aucun commentaire, ni encouragement, ni refus, rien, mais son sexe était d'accord. Je caressai encore, la bosse avait triplé de volume, il devait être monté comme un âne ! C'était excitant, mon autre main vint titiller mon clitoris, je mouillai déjà mon siège. Je descendis sa braguette et passa la main sous la toile, je ne mis pas longtemps à libérer le vit du slip et je sentis une peau douce et brûlante, une matraque que je pouvais branler à loisir. A ce moment, sous l'effet de mes délicates attentions, l'homme posa sa main sur mon épaule et ses doigts se crispaient par intermittence.

Encouragée, je sortis l'objet de ma concupiscence et celui-ci s'allongea aussitôt sorti de sa boite. C'était un beau sexe, au diamètre impressionnant, rose et lisse, je l'aurais volontiers moulé pour le mettre dans un musée !

Le gars caressa mes cheveux et plaça sa main derrière ma nuque, m'incitant à le goûter, mais je n'avais pas besoin de cela, j'en avais déjà l'intention, mais les hommes sont si pressés !

Je goûtais à ce sexe bandé, d'abord le bout du gland, posant mes lèvres dessus et puis je le fis entrer de quelques centimètres et ma langue s'enroula dessus, c'était comme déguster une friandise. Il entra encore un peu plus loin dans ma bouche, cette fois le diamètre écartait mes lèvres au maximum, je dus prendre soin de ne pas l’abîmer de mes dents. Et puis le colosse atteignit le fond de ma gorge, et je le gardai ainsi quelques secondes, manquant d'air, c'était si bon, je le fis ressortir afin de reprendre mon souffle et puis les va-et-viens reprirent ainsi, lentement d'abords, mais le salaud ma força à accélérer en imprimant le rythme de la main. Son autre main passa sous mon top et vint caresser ma poitrine, pinçant mes tétons de façon délicieuse. Il augmenta la vitesse, je le pompai avec ardeur, mes seins se dressaient de désir sous sa main chaude et caressante, mes doigts faisaient vibrer mon clitoris, des vagues de chaleur me parcouraient. Soudain l'homme fit un soubresaut et un liquide brûlant et amer fut propulsé dans ma bouche. Il me garda un bon moment encore en me tenant la nuque et je fus obligé d'avaler. Ce n'est pas ce que je préfère, mais dans cette situation là, j'avoue que j'ai aimé le faire et cela me procura un petit orgasme. Il rangea son engin et disparut quelques stations plus loin.

Quand je sortis à la gare, je pris un billet pour le sud et attendis mon train. Les vacances commençaient bien.

TGV direction le cap d'Agde, je m'assois à ma place et je repense à ce qui vient de m'arriver dans le métro, il n'y a que moi qui vit ce genre d'aventures. Mais l'inconnu m'a laissée sur ma faim, à peine un apéritif, j'ai le bas du ventre qui me chatouille. Et me voilà partie pour plusieurs heures de trajet, ça va être long…

Alors je regarde autour de moi, cherchant parmi les passagers le hors d'oeuvre qui me contentera. Mais aucun plat ne me convient : des étudiants boutonneux, des vieux, des beaufs, alors je soupire et essaye de penser à autre chose, mais plus je me force à ne pas avoir de pensées interlopes et plus mon esprit me renvoie à mes fantasmes les plus lubriques.

A la gare suivante, s'installe dans le wagon un jeune couple dans la trentaine, lui, un beau noiraud aux yeux verts au sourire ravageur, elle une jolie fille mais qui semble faire la gueule à son mec, froide, fermée à ses sourires, de surcroît habillée façon jeune bourgeoise coincée, c'est à dire une chemise même pas échancrée, ni transparente, un pantalon de toile noir coupé pour ne pas trop mouler. Je prends immédiatement le parti du garçon contre cette fille qui ne doit certainement pas être une bombe au lit. Par chance le couple s'installe sur la banquette d'à côté. Et si j'apportais à ce pauvre homme une petite bouffée d'air frais ?

Je cherche d'abord le gars du regard, lançant quelques oeillades qui iront droit à sa braguette. Bien sûr j'y parviens, il ne peut pas douter de mes envies à son égard, il me répond par quelques sourires, se prête au jeu, tandis que sa compagne, assise côté fenêtre, se perd dans la lecture d'un magazine de cinéma. Maintenant que j'ai capté son attention, il tourne régulièrement la tête dans ma direction, je vais lui montrer de quoi je suis capable : ma main vient caresser mon sein, et je mouille mes lèvres de la langue. Mon autre main passe entre mes cuisses et remontant ma jupe, je titille mon sexe à découvert. Les yeux du gars s'écarquillent, la tempétature est montée brusquement d'un cran.

Je m'interromps car le contrôleur vient s'occuper de nos billets. J'interroge au passage ce dernier au sujet de la position du train-restaurant, et lorsque celui-ci m'informe, je lance une nouvelle oeillade au beau mec.

Je me lève et effleure son épaule au passage, prenant la direction du wagon-restaurant en balançant des hanches. Arrivée à la première porte, je sors du wagon en jetant un regard derrière moi, je vois que mon plat de résistance parle avec sa voisine en se levant. Il a certainement mordu à l'hameçon !

Je l'attends près des valises. Mon coeur bat la chamade, soulève ma poitrine, je ne le connais pas, j'ai tout de même un peu d'appréhension. Il arrive, marche vers moi, veut parler, mais je l'en empêche d'un doigt sur ma bouche. Ne pas tout gâcher par des paroles idiotes, c'est tout ce que je désire. Nous nous enlaçons et nos bouches s'écrasent l'une contre l'autre, son baiser est délicieux, il a un goût sucré, nos langues se mêlent, ses mains descendent sur mes fesses, les miennes passent sous sa chemise, il a le dos musclé, j'aime ça. Il m'écarte les fesses, ses doigts effleurent mes orifices, je me sens déjà très humide. Ma main vient se poser sur la bosse de son jean, je sens que c'est déjà très dur, je lui fais beaucoup d'effet. Il fouille entre les miennes à la recherche d'un trésor caché, le trouve dans un petit ru, enfonce un doigt dans la grotte dont les parois s'écartent au passage. Tel Aladin, il possède la bonne formule magique, alors il met deux doigts en moi et commence à les agiter pour mon plus grand bonheur, tandis que son autre main sous mon top s'empare d'un sein et me pince le téton. Pendant ce temps nous continuons à nous embrasser et devons nous interrompre au bruit de la porte qui s'ouvre. Un mec barraqué en pantalon militaire rayé avec un maillot de corps, des tatouages et un collier, l'air canaille, la boule à zéro style Vin Diesel, à son sourire, il n'est pas dupe de ce que nous faisions, mais nous laisse tranquille et ne fait que passer.

Alors j'entraîne mon noiraud dans l'espace exigü des toilettes. L'envie est si forte, nous n'avons que peu de temps. Je baisse son jean et sort une queue d'une bonne taille, l'engouffre dans ma bouche pour le faire grossir. Mais j'ai envie de l'avoir en moi, alors je me redresse assez vite et lui tourne le dos pour qu'il me prenne par derrière. Je ne peux pas me pencher, alors j'écarte les jambes et lui doit plier les siennes pour entrer en moi. Je sens l'engin dans mon vagin trempé, ses mains se calent sur mes seins et ma bouche. Je le sens derrière moi qui s'active, sa bite va et vient en moi, c'est bon, je jouis déjà et manque de mordre sa main. Il continue à me baiser ainsi jusqu'à son orgasme qui me provoque une onde de chaleur bienfaisante et un cri de plaisir.

Je l'embrasse pour le remercier et lui mettant le doit sur la bouche, je lui interdis de prononcer le moindre mot, c'est mieux comme ça, il le comprend.

Je retourne à ma place, toute guillerette. Le train continue sa route, une heure passe, et voilà que j'ai encore envie. Moi quand je jouis, ça va crescendo.

Hélas pour moi, voilà que le couple est levé et se dirige vers la sortie avant de sortir en gare.

Je me sens bien seule désormais, que vais-je faire durant le reste du trajet ?

Tout à coup, la canaille de tout à l'heure se pointe, s'asseyant à la place du gars d'avant, un large sourire aux lèvres, il me détaille de la tête aux pieds.

– Salut beauté.

– On se connaît ?

– Non, mais on peut faire connaissance.

– D'accord, dis-je en me poussant sur la place vide côté fenêtre.

Il ne demande pas son reste et s'asseoit à côté de moi. Nous sommes tranquilles dans cette partie du train.

– Alors ? Vous voyagez léger, fait-il en désignant ma tenue.

– Oui, il fait si chaud.

– C'est marrant, il m'a semblé que le type qui vient de descendre était venu avec sa nana.

– C'était le cas.

– Il a de la chance qu'elle n'ait rien vu…

– Et vous, qu'avez-vous vu ?

– Assez pour deviner que vous êtes une sacrée chaudasse.

Pour moi, cet adjectif est un compliment, je décide de lui montrer que je suis LA chaudasse, pas seulement une.

– Et ça vous plaît que je sois une… chaudasse, dis-je avec un air provocateur.

– Oh que oui, dit-il en posant sa main sur ma cuisse.

Je souris, plutôt gonflé le type, ça me plait aussi. J'écarte lentement mes jambes et relève ma jupe pour lui montrer mon sexe nu. Ses yeux scillent, ses joues deviennent rouges, eh oui même les canailles rougissent !

– Ouahhh t'es une belle petite salope en fait !

Dans la bouche d'un voyou c'est aussi un compliment, il y a des façons de me le dire qui me font de l'effet et c'est le cas, j'ai des chatouillis à l'intérieur de mon antre des délices.

Il place un doigt sur mon clitoris et me le caresse, puis il l'insinue en moi, s'humidifie avant de venir à ses lèvres pour me goûter. Il me fait ensuite avancer le bassin et plier mes jambes en les tournant vers le côté fenêtre, découvrant mon cul à ses envies. Il me caresse les fesses, et puis vient titiller mon anus. C'est un jeu que je connais bien, mais là je suis surprise de l'audace de ce gars et du fait que nous soyions dans un TGV ! Je sens un gros doigt s'enfoncer dans mon cul, puis il donne de petits coups secs sans s'enfoncer profondément, il sait ce qu'il fait le salaud ! Comme mon anneau cède facilement, il peut m'enfoncer ses doigts et m'encule ainsi par petites saccades , je ne peux m'empêcher de gémir de plus en plus bruyamment, on doit m'entendre dans tout le wagon !

Ce traître de petit trou se dilate, je me sens humide à l'intérieur, les vagues de plaisir se communiquent à mon sexe et traversent mon corps. Voilà que j'ai envie de me faire sodomiser par ce type.

– Tu aimes te faire enculer ? Demande-t-il.

– Oh oui !

– Alors qu'est-ce qu'on attend ?

Le voilà qui baisse son froc, j'aperçois en tournant la tête une énorme queue gonflée à bloc.

– Quoi ? Ici ?

– Et pourquoi pas ?

Il se démène de côté pour réussir à placer sa bite à l'entrée de mon anus, et le vicieux parvient à entrer son gland à l'intérieur, il s'accroche à moi et essaye de me pénétrer plus, mais c'est compliqué dans cette situation, coincé sur cette banquette de train. Il faudrait pouvoir se mettre autrement mais alors on ne serait pas discrets. Pourtant l'envie est forte. Il renonce, je me retourne vers lui, empoigne son engin, j'en fais à peine le tour avec mes doigts, un tel colosse me fait vibrer.

– Allez, viens, on va ailleurs.

Nous nous levons et traversons le train vers l'arrière. Au fond, nous trouvons un lieu discret et désert où nous ne risquons pas de croiser grand monde, étant au dernier wagon. Le gars me plaque contre un mur, m'écarte les fesses de ses mains viriles et place le gland à l'entrée de mon anus, celui-ci réclame d'être profané, cela me provoque une excitation peu commune. Il force un peu l'entrée, puis ressort et donne de petits coups, ce qui dilate mon anneau et me donne envie qu'il aille plus loin encore. Son bras m'enlace par le ventre, son autre main me serre le menton et les joues, et le voilà qui m'encule plus profondément, je pousse un cri de jouissance. Ça fait un peu mal mais le plaisir surpasse mes sensations. Accroché à moi, il donne de grands coups dans le cul avec son bassin puissant, je sens son énorme queue me défoncer, je jouis, je jouis, c'est bon !

Après plusieurs minutes de ce traitement, ce voyou pousse un grand râle et m'inonde le conduit anal. Je subis un nouveau soubresaut et je lui mords la main. Lorsqu'il se retire de moi, j'ai l'anus comme un artichaud, je redescends lentement sur terre, et nous entendons l'annonce de l'arrivée en gare. Le salaud me ramène contre lui pour me rouler une pelle avant de me dire :

– Adieu !

Et le voilà qui descend, moi je retourne m'asseoir.

La fin du voyage, je le passe à dormir, l'excitation est retombée, je commence à avoir mal au cul, mais rien de grave. Arrivé enfin au terminus du train, je descends, mais à peine sur le quai, deux hommes du personnel de sécurité de la gare m'interpellent :

– Veuillez nous suivre mademoiselle.

Je ne sais trop ce qu'ils me veulent alors je les suis dans leur local, ils me font asseoir devant leur bureau.

Le premier, un brun d'une quarantaine d'années, commence :

– Mademoiselle, vous avez été filmée par nos caméras de sécurité.

Le second, un blond trentenaire avec des lèvres charnues, poursuit :

– Nous devrions appeller la police, vous êtes coupable d'un délit.

Le conditionnel m'interpelle, je décide de tenter ma chance :

– Est-il possible de s'arranger ?

Le brun échange un sourire complice avec son collègue :

– Peut-être bien… c'est que la vidéo que nous avons de vous est très…

– Très très même…, ajoute le blond.

– Regardez à l'écran, mademoiselle, me demande le brun.

Il tourne son moniteur et je vois qu'effectivement, une caméra de surveillance n'a rien manqué de mes frasques : on voit clairement que le gars de tout à l'heure m'encule et que je jouis, le genre de videos qui se retrouve après sur Youporn.

– Alors ? Que puis-je faire pour qu'on oublie ce petit incident ?

En même temps, je croise les jambes à la Sharon Stone dans Basic instinct, la proposition est on ne peut plus claire.

– Il va falloir que vous soyez gentille, mademoiselle, dit le blond.

– Très gentille, même, ajoute le brun.

Les deux se lèvent et m'entourent à côté de la chaise. Une main se pose sur mon épaule avant de descendre sur ma poitrine. Il fait chaud dans ce local, la main est douce sur mon corps, il soulève mon top et découvre mes seins avant de les empoigner. Le blond pendant ce temps a pris ma main et la pose sur la bosse de son pantalon, je le sens déjà tout dur. J'ouvre la braguette et sors son sexe qui se tend aussitôt, puis je me penche pour le déguster. Le brun s'agenouille pour me téter les seins, ça a le don de m'exciter grave. Sa main joue avec mon clitoris, j'avance mon bassin et il peut ainsi mettre les doigts dans ma chatte. Je vais tremper le siège c'est sûr.

Puis on me fait me lever, et le brun m'incite à le sucer à son tour. Penchée ainsi, le blond en profite pour m'enfiler par derrière. Puis ils changent de place, c'est très excitant.

Mais les deux fonctionnaires ont une idée en tête. Ils m'entraînent vers leur banquette, le blond s'allonge et le brun m'invite à m'empaler sur son collègue, ce que j'accepte avec joie. Je sautille en coulissant sur son membre, puis par comodité, je m'allonge sur mon partenaire et embrasse le blond, ses lèvres charnues s'écrasent sur les miennes, nos langues se mêlent et son bassin se soulève pour aller plus vite en moi, je jouis déjà. Le brun se place derrière moi, je devine ses intentions, j'ai un peu peur : c'est pas le genre à préparer, et j'ai des douleurs de ce côté là. Heureusement, l'excitation est au rendez-vous et si sa queue me fait d'abord mal en m'enculant, on dirait que mon anus se souvient et avec quelques frottements rapides, je le sens qui s'ouvre à nouveau comme une fleur. Me voilà prise par les deux trous et j'aime ça, des vagues de chaleur me submergent, je jouis bruyamment, c'est bon.

Le brun finit par éclater son sperme dans mon anus brûlant. J'ai à peine le temps de me remettre que le blond se dégage de moi, se lève et engouffre sa pine dans ma bouche, puis il m'éjacule au visage à grandes giclées. Je termine en nettoyant leurs sexes avec leurs bouches et en me donnant un ultime orgasme avec la main sur mon clitoris enflé.

Voilà comment je suis sortie de la gare sans finir au poste de police avec une plainte au cul. Il faut dire que cette fois, j'avais vraiment mal au derrière, mais quel pied !


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