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Je suis majeur,Entrer

Je suis tombée bien bas. C'est ce que je me dis parfois lorsque les hommes se jettent sur moi et que je me laisse faire. J'ai découvert que j'aimais me livrer totalement à tous leurs désirs et à toutes leurs perversions. Je suis tombée bien bas, mais j'adore ça !

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Extrait : "

Je sortis de la station de métro et arrivais aux champs Élysées. Je me rendais compte que je n'avais plus de soutif ni de culotte et qu'il faisait un peu froid. Quant à mon chemisier, il manquait des boutons, je fermais donc ma veste pour que cela ne se voie pas.

J'arpentais les champs Élysées avec les boutiques de luxe et tout le tralala, mais je fus bien déçue. A cette heure-ci, il y avait plein de ces bandes de cité qui me faisaient des remarques continuelles. Suite à mon expérience du métro, je décidai de faire demi-tour et d’appeler un taxi. A ce moment-là, deux Noirs m'abordèrent gentiment :

— Bonsoir Madame, ça vous dit de venir à l'hôtel avec nous ?

Il me tendait une clef d'hôtel en même temps pour me montrer qu'ils étaient sérieux.

— Et qu'est-ce que nous allons faire à l'hôtel ?

— Tout ce que vous voudrez Madame, vous n'aimez pas les Blacks ?

— Si si, mais c'est un peu rapide je trouve… on ne se connaît pas.

— On vous jure qu'on sera gentils Madame.

Je les regardai : c'étaient de beaux hommes bien musclés, et j'avais bien besoin d'une vraie nuit torride pour me remettre. J'acceptai.

Je les suivis dans une rue adjacente où il y avait un petit hôtel. Nous montâmes jusqu'à la chambre, petite avec un lit d'une place. Je me demandai un instant quelle folie m'avait amenée ici, dans cette chambre avec deux inconnus. Le plus dégourdi des deux m'attira à lui et m'embrassa, ses lèvres pulpeuses étaient moelleuses, un baiser agréable qui me détendit pour de bon. Il me mit les mains sur les hanches et je me collai à lui, sentant son torse musclé contre mes tétons durcis. L'homme me caressa les flancs et me releva ma jupe ; il fut bien étonné de ne trouver rien dessous. Cela les fit rire :

— Madame n'a pas de culotte !

Le deuxième vint derrière moi et se colla à nous dans une curieuse danse à trois. Je sentis sa virilité qui tendant son pantalon se frottait entre mes fesses. Le premier enleva ma veste et ouvrit ma chemise en enlevant les boutons qui restaient, libérant ma poitrine gonflée de désir, soulevant mes seins, se baissant pour les embrasser, puis les goutant, enfermant mes tétons entre ses lèvres charnues. Le deuxième me serrait les hanches, appuyant ses mains dans le bas de mon dos, me faisant cambrer l'arrière-train. Ma jupe tomba à terre, il se pencha pour m'embrasser les fesses. A genoux derrière moi, il m'écarta les fesses doucement et je sentis sa langue chaude me lécher l'anus et l'entrée du vagin. J'espérais ne pas avoir trop mauvais goût, heureusement le garçon ne lâcha pas l'affaire, et sa langue s'insinua même un peu à l'intérieur de mes conduits, alternant dans l'un et l'autre avec délicatesse. J'étais aux anges !

Je ne restai pas passive et je déboutonnai le pantalon du beau mec devant moi, je plongeai ma main dans son boxer et caressai son membre que je sentis progressivement s'allonger et durcir. Il me tétait les seins avec une telle ferveur que cela me fit soudain monter, monter, jusqu'à ce qu'un orgasme me parcoure la colonne vertébrale. J'ouvris la chemise de l'homme et découvrit un magnifique torse noir et musclé, mes mains le caressèrent avec plaisir. Jamais je n'avais touché un homme si beau.

Derrière, il poursuivait sa dégustation, et s'abreuva de mon nectar qui ne cessait de couler.

Je me penchai pour goûter le braquemart du bel étalon qui était maintenant suffisamment tendu. C'était un bel engin, comme une sculpture en bois d'ébène. Je commençai une fellation avec douceur, essayant d'enrouler et de dérouler ma langue dessus comme une spirale magique, posant mes lèvres sans rayer la bite avec les dents, le suçant pour lui donner un maximum de plaisir.

L'autre gars se releva. J'entendis sa braguette puis je sentis un pénis dur me caresser entre les fesses. Il commença à se masturber ainsi, puis il m'empoigna par les hanches et m'enfila d'un seul coup de reins. Je ressentis une telle puissance dans cette intromission que cela me fit lâcher un petit cri. J'étais remplie, il se figea quelques instants bien au fond, puis retira sa verge complètement, avant de me pénétrer à nouveau de toute sa longueur. Cette sensation de me faire planter par un gros épieu de façon répétée, ne tarda pas à provoquer de nouvelles vagues de chaleur et je partis à plusieurs reprises dans le 7e ciel, sans pour autant arrêter de déguster le sexe de l'autre gars.

Mes jambes avaient néanmoins du mal à me soutenir, la position est difficile à tenir lorsqu'on jouit. Le gars derrière me tenait bien sous le ventre et ralentit son rythme. L'autre me releva et me tint contre lui, m'embrassant à nouveau, tandis que je le masturbai lentement. Derrière il poussa un râle et je sentis son sperme gicler à l'intérieur de moi, me provoquant un autre orgasme. Il se retira et mon bel étalon me souleva par les fesses afin de me permettre de m'empaler sur son colosse. Je serrai mes jambes autour de sa taille mes bras autour de son cou et je partis dans une chevauchée fantastique, poussant des cris de plaisir sans discontinuer et de plus en plus forts. Tout l'hôtel devait m'entendre c'est sûr. Il ralentit le rythme et je me perdis dans son regard de douceur exotique. Il m'amena sur le lit, et je me retrouvai prise avec plus de fougue encore, ses reins musclés se creusant à chaque coup de queue, je tâtai ses magnifiques fesses d'étalon sauvage. Emportée dans les torrents du plaisir, je ne faisais plus que jouir et jouir et jouir encore. Ils se relayèrent une bonne heure et je ne savais plus où j'étais ni qui j'étais, juste que je prenais un pied géantissime."


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