Je suis Andrea, une belle et jeune étudiante qui s'emmerde avec son petit-ami. Bien décidée à me décoincer et à partir en quête de l'orgasme, je me fâche avec mon ex et mon meilleur ami qui décident de me tendre un piège pour m'humilier. Mais, sauf si c'est pour un jeu sexuel, je ne suis pas du genre à me laisser faire et débute ma vengeance.
Une aventure pornographique à lire sans modération.
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Extrait : "
Elle attend devant chez lui avec sa voiture, capot ouvert. Comme elle a mis une robe sexy, il fait attention à elle quand il sort :
- Je peux vous aider mademoiselle ?
Elle fait sa blonde :
- Oui je suis en panne.
Quelques instants plus tard, Marco fait démarrer le véhicule.
- Vous êtes mon héros !
- On peut se revoir ?
- Oui, si vous voulez m'accompagner, j'ai une salle à préparer pour un spectacle, un homme costaud serait très utile, surtout que je suis toute seule, dit-elle en effleurant ses pectoraux de ses mains.
L'idiot accepte.
Dans la voiture, le gars la drague ouvertement, ses mains se font balladeuses, il profite du fait qu'elle doive se concentrer sur la route pour se poser sur ses cuisses qu'elle serre pour le faire attendre un peu.
Ils arrivent sur le parking devant la salle, Marco l'embrasse et elle écarte les jambes en réaction à ses caresses, sa main découvre son sexe rasé, car elle ne porte pas de sous-vêtements.
- Oh petite coquine !
Il déboutonne son jeans et sort sa queue, déjà au garde à vous.
- T'as cinq minutes ? Fais-moi une petite turlute.
- Pas ici, on risque de nous voir.
- Allez, c'est désert, vas-y. répond-il en posant sa main sur la nuque de Jessica pour l'inciter à se pencher sur le mât de cocagne.
Jessica obéit docilement, lèche la belle saucisse en tâtant les deux boulettes, pendant que le salaud en profite pour découvrir les fesses de la blonde ; aussitôt il plonge ses doigts dans la chatte offerte, puis satisfait de l'humidité ambiante, ressort et enfonce un gros doigt dans l'orifice anal, lequel se laisse faire.
- Vas-y suce-moi bien, c'est bon... plus vite, allez !
Comme pour encourager Jessica à accélérer la cadence, Marco doigte plus fortement son cul. Jessica reprend son souffle quelques secondes, outrée par l'audace de ce con, elle a de plus besoin de le faire patienter jusqu'à entrer dans la salle, car s'il éjacule maintenant, le plan risque de tomber à l'eau. Elle demande :
- Attends, pas ici, pas maintenant…
- Non salope, continue. répond-il en forçant la fellation des deux mains sur sa tête.
A présent il se soulève carrément pour faire glisser son membre à son rythme. Jessica manque de s'étouffer, alors elle rape avec les dents, ce qui fait enfin lâcher prise à Marco.
- Fais gaffe, tu risques de me faire mal. Allez tourne-toi maintenant.
Jessica décide de ruser :
- Allons à l'intérieur, j'ai envie que tu m'encules…
Cet aveu lui coûte beaucoup, mais il atteint son but, et ils sortent de la voiture pour entrer dans la salle. Jessica entraîne Marco au fond, sur une table devant de grands rideaux. A peine arrivés, Marco plaque la belle contre la table, soulevant sa jupe pour découvrir son magnifique popotin.
- Mais qu'est-ce que vous faites ? s'écrie-t-elle, faussement ingénue.
- Laisse-toi faire salope, je vais te montrer comment Marco s'occupe des putes dans ton genre.
- Me faites pas mal s'il vous plaît.
- Ta gueule ! fait-il en abattant sa main sur son cul.
Puis, le sexe brandi, gonflé d'orgueil, il la pénètre en levrette, glissant facilement dans son orifice grand ouvert.
- T'aime ça vicieuse hein ?
Elle répond d'une petite voix, se faisant violence pour ne pas exprimer son plaisir :
- Doucement Monsieur… aïe !
- Je vais te casser le cul, tu vas voir.
Marco pointe le bout de son pénis à l'entrée de l'anus, Jessica prend un ton affolé qui ne fait qu'augmenter son excitation :
- Non, pas par là, je vous en prie…
- Rien à foutre, je sais que tu veux que j't'encule.
Joignant le geste à la parole, il s'enfonce d'un seul coup dans son petit trou, bien trop facilement pour être sa première fois. Mais sans pouvoir résister, Jessica est prise d'un violent orgasme qui secoue tout son corps, et elle pousse une gueulée qui heureusement peut être interprétée comme de la souffrance.
Tout à coup, le rideau s'ouvre en grand et Marco découvre avec stupéfaction qu'un groupe de gens est attablé derrière, tous les yeux fixés sur eux, l'air scandalisés. Il reconnaît sa fiancée et toute sa belle-famille ! Aussitôt, il débande et se retire du cul de Jessica.
- C'est pas ce que tu crois ! lance-t-il à sa fiancée en pleurs.
- Taisez-vous petit insolent, crie le père de la jeune fille, moi qui vous pensait être le gendre idéal !
Jessica en rajoute, se met à pleurer aussi, et la mère la prend dans ses bras.
- C'est une honte, dit-elle, d'abuser des jeunes filles ainsi, pervers !
Ainsi se termine ma deuxième vengeance."